DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. i57
3g2 et 3g3. IMme de Sévigné espère beaucoup des soins qu’elle prend d’elle-même, IX, 4o5 Elle se plaint de cruelles vapeurs, IX, 578;X,6o et 61. Sa santé est un peu meilleure Mme de Sévigné aura le temps de se préparera la voir mourir, X, S8. Sa disposition aux larmes, X, 60-62. Elle dit qu’elle va tout à fait mal, et qu’elle dépérit à vue d’œil; elle est résignée à la mort, X, 68. Mme de Sévigné raconte sa mort et décrit toutes ses infirmités et l’état où l’on trouve l’intérieur de son corps, X, 107-iog.
Fayette ;( Louis Motier, abbé de la) fils aîné de Mme de la Fayette, III, jSg, 229 Vf 446; VIII, ago; IX, 434. On croit qu’il aura une abbaye dont vient de se démettre son grand-oncle, IV, 2 55. II obtient l’abbaye de la Grénetièreen Poitou, V, 5a3 et 5ï4 et note io. Il assure tout son bien à son frère qui se marie, IX, 226. -Les nombreux amis de sa mère lui ont été fort utiles sa reconnaissance pour elle IX 474. II écrit du Poitou à sa mère au sujet de la mort du fils de Mme de la Troclie, X, 61.
Fayette (René-Armand Motier, marquis de la), second fils de Mme de la Fayette, III, 194(l’), aag; VI, 446, 476, 5ia (trèsprobablement) VII, 271, 373; IX, 346,434. II vient recevoir Mme de Sévigné à son arrivée à Vichy, et se montre très-empressé à lui rendre service, IV 453 (?), 463 (?)
dans ses Mémoires, a tourné très-finement son caractère en ridicule, X, 49 et 492- Mme de Sévigné la rassure au sujet des sentiments de Mademoiselle, X, 542 et 543. Détails sur sa santé, en général fort mauvaise, III, 20, 29, 62 et 63, 74 1 77» 92> 98î Iox 310 et 211, 500; IV, a5S 419, 463; VI, 3i5, 404,446; IX 428. Ses migraines, II, 824. Son mal au côté, IV, 218, 523; V, go et 91; VII, 43o. Ses accès de fièvre quarte elle est ravie que sa maladie ait un nom, V, Ii3. Cette fièvre passe, mais elle est bientôt plus malade, V, i3a, i85. Elle est mieux, V, 188. Elle donne de grandes inquiétudes, V 204, ao8. Elle paraît se remettre lentement, V, 21S 232 a38 et 23g 246, 297 et 298. Sa santé reste extrêmement dé- licate V, 35i 363. Elle prend des bouillons de vipère, VI 58. Sans son excellent régime elle serait morte depuis longtemps, VI, i35. Elle se trouve bien du lait d’ânesse, VII, 117. Elle ne dort point et est dans une mauvaise veine de santé VIII 456. Du Bois est son méde- .] cin, VIII, 466. Elle a eu la •’ fièvre IX, 243. Sa santé est déplorable, IX, 871. Sa faiblesse est extrême cependant la fièvre l’a quittée, et ses amis commencent à respirer, IX, 375 et 376. Elle est trop malade pour jouir de l’établissement de son fils et de la douceur de sa propre vie, IX
1. Le marquis de la Fayette, à l’époque où se rapportent les trois men-; tions marquées ici comme douteuses (celle du tome 111, p. 194, et celles du
