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MANUSCRITES ET IMPRIMEES. 397

829 Copie de Bussy A, 11, S.– Copte 1 f 1818, VI, 354. Correspondde Bussy B, IX, 5;o. Le 1" dance de Bussy, V, (1S59),

alinéa de la lettren’est que dans 140.

la copie lî.

83o f Perrio, (1754) 96.

8J1 ’̃ Mscr. Grosbois, p. 124, depuis: Perrin f (1737) V, 301 f (1704) « Je ne comprends pas » VI, gg.

(p. 521, ligne 10), jusqu’à

<c Vous aurez bientôt » (p. 5î3r

ligne 1), et depuis « vous

lisez donc saint Paul » (p. 523),

jusqu’à « Adieu, ma très-

chère » (p. S29, ligne i5).

83a nid., p. i3i, depuis le com- Pétrin f (1737) V,an; + (ri54) mencement de la lettre jus- VI, m. 1.

qu’à « Adieu, mon enfant »

(p. 537) voyez la note 47.

833 Autographe à M. le comte de Klostermann (S8l4), p. 63.

Guitaut,

834 Mscr. Grosbois, p. io55, de- Perrin + (1737) V, 210; (ii5i) I puis « On me mando » VI, 120,

(p. 544, ligne 6), jusqu’à

« ce qui est vrai » (méine

page, ligne ji). Ce fragment

termine le mscr. Grosbois.

835 ’̃ ••••• P«*ùi: t (1737) V,2ï.t (t754)

VI< ra5-

836 Mscr. Grosbois, p. 693, depuis Perrin: Un3i) V, 228 {110A) « On dit que le Eoi » (p. 553, VI, i3i.

ligne 3)y’jusqtt’à « Je ne

vous pluins point » (p. 555, t

ligne r6)..

837 ligne 16). Perrin f (’?37)V, 234; (i754)

V-1, r37.

TOME VII.

83g Msci’. Grosbois, p. r’45, moins le Perrin: (173;) V,2.|8;(i754) VI, dernier alinéa. i53.

840 Ibid,, p. 697, depuis: « Vos ré- Perrin (1737) V, 255; f (1704) flexions sont plaisantes » (p. j VI, 161.

16), jusqu’au paragraphe qui

commence par « M. et

Mme de Chaulnes m’ont fort

priée » (p. 18}.

S41 Copie de BussyA, II, 9. –Copie f ^97, 373. 1818, VI, 475. de Bussy B, IX, 58a, moins la

fin de la lettre, à partir des

mots « Pour moi, je ne sens

8’f2 plus mes maus. » (p. 20). Perrin :f (1737) V,a58; (1754)

8!,2 :r>rrin t (t731) Y, ~58; (1754)

YI, 164.