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de Bonneval, ni de la Fares, où la belle-mère est déjà. Celle-ci a une autre espèce de rôle de faveur ce sont les heures de la nuit ou du matin, les temps de maladies ou d’incommodités, point celles du grand monde. La cousine Montauroux6 se glisse aussi. En un mot, cela paroît prendre ce train-là, comme on l’avoit prévu; cela est naturel et très-bien, si le public l’agrée. Brûlez ceci, je vous en prie.
La BoulieT est à la seconde résurrection il étoit retombé, réenflé, révaporé il est à sec8 à présent. On a changé de route il prend du chocolat, des cordiaux, des spiritueux, et point de laitues nous tâtonnons un peu, et ne connoissons point le principe et le fond du mal. On se souvient donc encore de moi, Monsieur j’en suis autant charmée qu’étonnée. J’espère bien que vous aurez répondu de mes sentiments pour Mmes de Yillars9 et d’O. N’avez-vous point parlé à cette dernière de toutes vos affaires et de la déraison des entrailles qui vous ont porté" ? Je suis persuadée qu’elle l’improuvera bien, et c’est toujours une consolation. Adieu, Monsieur vous m’aimez un peu, vous faites très-bien; car on ne peut assurément vous être plus fidèlement et plus tendre5. Il y a plusieurs lieux du nom de la Fare ou la Farre dans le sud-est de la France, un entre autres dans la Drôme, un dans les Bouches-du-Rhône.
6. Louise de Forbin Janson, femme depuis 1718 de Charles de Lombard, marquis de Montauroux, conseiller au parlement d’Aix. 7. Voyez ci-dessus, p. 2o8.
8. Dans l’édition de £773,quia peut-être le vrai texte «il est sec. o 9. La veuve du duc et maréclial elle avait été nommée avec Mme de Simiane pour accompagner Mademoiselle de Valois en 1740 voyez tome X, p. 477, note 8, et la Notice sur Mme de Serigné, p. 3i4. 10. D’Héricourt avait alors une discussion d’intérêt avec sa mère. Voyez ci-dessus, p. 2i3 et 214. Ce passage, depuis « N’avezvous, etc.. «jusqu’à « Adieu, etc., » a été retranché dans l’édition de 1773.
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