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A M. Lamelin. ...,..........… . . . . . . . . 8 000

A un autre dont ]’a1 oublie le nom. ....… . . .1 500 A Nantes, en plusieurs contrats, au denier 18.18 000

67 500

DETTES DE MON ESTOC PARTlCULER.[1]. Pour le mariage de Mme de Sévigné, il est dû à ses héritiers ............... . . . . . . .138 000 A M. de Tisé, pour sa donation. .....… . . . 50 000 188 ooo

DETTES CREES PUR MA CHARGE. A M. de Galinée, mon beau-frère, en deux contrats ................… . . . . . . . . . 34 611

A M. de Tisé, en plusieurs contrats ...… . . I2 006 A Mlle de la Roche de Quelen [2]....... . . . . .. . . . . . . . . . . 4 800 A l’abbaye de Saînt·Ge0rges[3] ........ . . . .4 000 A Mme de la Villeroux ............ . . . . . .IO.000 A Mme du Pontbriant ..........… . . . . . . . 8 000 A Mme de la Louvelais[4], par obligation. . .I0 000 Plus à M. de Tisé un petit contrat dont je ne paye point d'arrérages. . . . . . . . . . .. . . .3.400 . Total des dettes .[5] . . ..... . . . .. . . . .342.316

  1. 15. C'est-à-dire des dettes venant de moi. Outre son emploi comme terme d’ancienne pratique, le mot estoc se disait autrefois dans quelques locutions familières ; par exemple : « cela ne vient pas de son estoc, pour : «  cela ne vient pas de lui. » Voyez le Dictionnaire de I’Académie.
  2. 16. La belle-mère de Charles de Sévigné était du nom de Quelen.
  3. 17. Il y avait à Rennes de ce nom un monastère de religieuses de l’ordre de Saint-Benoît.
  4. 18. On lit plutôt dans l'original Louuelais, que Lonnelais, et c’est peut-être ainsi qt1’il fallait lire le n0m de l’ami dont Mme de Sévigné parle dans sa lettre du 8 février 1687 à d’Hérigoyen (tome VIII, p. 16).
  5. 19. Sévigné s’est trompé dans l’addition ;il faudrait à ce total : 86 817, et au total général : 342 317.