sion qu’il faut plus que jamais être disciple de la Providence.
J’embrasse de tout mon cœur la très-bonne. Je ne sais plus le plan de votre famille, je ne sais à qui j’ai affaire ni ce qui est autour de vous : il y a pourtant deux jolis garçons où je ne saurois me méprendre.
Suscription : Pour Madame la comtesse de Guitault.
1693
* 1366. — DE MADAME DE SÉVIGNÉ À LA COMTESSE DE GUITAUT, ET DE ROCHON À MADAME DE SÉVIGNÉ[1].
Voilà un billet de mon ami Rochon, qui vous approuve et vous admire[2].
Tout ce que Mme la comtesse de Guitaut vous a écrit, Madame, sur le sujet de votre terre, est si justement décidé, qu’il n’y a qu’à le suivre pour conserver vos droits, et faire justice à vos fermiers. Je suis avec respect, Madame, votre très-humble et très-obéissant serviteur,
Suscription : À Madame, Madame la marquise de Sévigné.
- ↑ Lettre 1366 (revue sur l’autographe). — 1. Ces deux billets inédits sont écrits sur la même feuille, à la suite l’un de l’autre. Voyez ci-dessus, p. 123 et p. 128.
- ↑ 2. Cette phrase a été écrite par Mme de Sévigné entre les lignes de la suscription du billepoem>t de Rochon, de la manière suivante :
À Madame,
Voilà un billet
de mon ami Rochon,
Madame la marquise de Sévigné.
qui vous approuve
et vous admire.