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- tir… …de l’ostentation (Ibid., 74-75), c’est
- s’embarrasser… …que la première. (Ibid., 77-78).
- Pour n’être pas vraiment malheureux, il ne faut qu’un
- bien : on le nomme raison, sagesse ou vertu. Pour être
- satisfait, je crois qu’il en faut quatre ; beaucoup de raison,
- de la santé, quelque fortune, et un peu de ce bonheur
- qui consiste à avoir le sort pour soi. Mais sans la raison,
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- chacun de ces trois | autres biens n’est rien ; ce qu’ils
- donnent sans elle n’a qu’un éclat extérieur, une apparence
- dont le cœur n’est pas long-temps abusé. Si au contraire
- la raison est seule, quoiqu’elle ne suffise pas, elle peut du
- moins consoler. On n’est bien sur la terre que quand on
- peut, et qu’on sait. Pouvoir sans savoir, c’est fort
- dangereux : savoir sans pouvoir, c’est triste, et à bien des
- égards, c’est inutile.
- La prospérité… …dit-on généralement. Mais (Ob.
- LXIV, 189-190) il faudroit distinguer les caractères : car
- c’est le contraire… …ce qu’il fait (Ibid., 190-192),
- qui considère… …que les détails (Ibid., 193-194),
- et dont le premier besoin… …de l’ordre. (Ibid.,
- 192-193).
- C’est à l’homme ferme… …n’en voit pas l’incertitude [1].
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- Mais l’adversité est… | …Si l’on succombe
- (Ibid., 195-215), c’est que l’on… …de sa raison
- (Ibid., 217-222), un sujet vivant près du maître sous un
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- règne absolu, je soutiens qu’il… | …ne peut être
- démontré. (Ibid., 222-242).
- Que de préjugés dans la sagesse commune ! c’est peu
- de chose… …le vulgaire des sages. (Ob. 2e Frag.,
- 118-120).
- ↑ L’homme de bien… …vertus austères. (Ibid., p. 97, n. 1, 1-2).
