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SOMMAIRES DES RÊVERIES



Première Rêverie.


DE l’Écrivain, particulièrement dans le temps actuel. Motifs ; difficultés ; véritable but. Objet de la Sagesse. Ce qu’il faut entendre ici par nature primitive de l’homme, etc., etc.


Deuxième Rêverie.

La nuit terrestre nous laisse pénétrer dans l’abîme de l’univers. Opposition entre la manière d’être du tout et la situation de l’individu. Disproportion entre la pensée et ses résultats. Le malheur est dans cette avidité à laquelle on se livre, et dans l’oubli de la nécessité. Le Beau moral n’a d’existence que dans les relations entre les individus. Universelle mutation. Mouvement, seule fin visible. La Fin générale est nécessairement inconnue.


Troisième Rêverie.

De l’Homme fatigué d’avidité et accablé de foiblesse. De sa vie sans bornes et sans résultat, puissante au dehors, et misérable au dedans, nulle dans l’univers, et incompréhensible sur la terre.


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Quatrième Rêverie.

Impénétrabilité Nécessité. Impossibilité de la Science. Le Principe ne peut être connu. Des abstraits. Hypo-