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QUARANTE-UNIÈME RÊVERIE
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omme je sçay,… | …nous étoit confiée.
- (Ob. XXXVIII, 92-103).
- Il y a dans cette conformité des pensées, un principe
- de joie secrète : c’est elle qui rend l’homme nécessaire à
- l’homme, parce qu’elle rend nos idées fécondes, parce
- qu’elle donne de l’assurance à notre imagination, parce
- qu’elle confirme en nous l’opinion de ce que nous
- sommes.
- Lorsque nous avons eu des torts avec un homme qui
- ne vit plus (Cf. thème, {{sc|Ibid., 38-41), nous en… …
- inconsolables (Ibid., 46). Si c’étoit seulement… …
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- de s’en relever (Ibid., 47-49) ; on trouveroit… | …
- l’enchaînement des choses. (Ibid., 50-73).
- Quoiqu’on en puisse penser, combien doit être amer,
- au dernier jour, le souvenir d’une vie dont ce qui reste de
- plus distinct est composé de reproches semblables !
- Combien même il sera pénible de n’avoir pas employé son
- être, d’avoir laissé toute une existence s’écouler en vain !
- Vers quel terrible moment nous marchons ! Dans quel
- oubli nous nous laissons emporter par les affaires et par
- l’indolence ! Comme nous arrivons à l’heure irremédiable !
- Et moi, qui suis sans passions, et qu’aucun voile
- ne sépare de l’instant redouté, en suis-je moins inutile au
- monde ? Moi qui sens chaque jour la perte irréparable,
- comment l’aurai-je prévenue ? Quand elle sera consommée,
- qu’aurai-je fait ? Y a-t-il une véritable impossibilité
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- dans les obstacles | qui nous arrêtent ? Cette force des
- choses, est-ce une vraie nécessité ? Ces considérations