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la force. Je n’ai pas eu celle de lire les maximes, et je n’y comprendrais rien dans l’état où je suis. Adieu, mon ami, mon père : tant que vous vivrez, je pourrai encore prononcer ce nom.
LETTRE CXXVI.
Le Président de Longueil
à la
Duchesse de Montjustin.
à la
Duchesse de Montjustin.
Vous devez être instruite, madame
la Duchesse, de la triste nouvelle que
j’ai été chargé d’annoncer à un homme
que nous aimons tous deux avec une
égale tendresse, il ne paraissait pas
