Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 4.djvu/229

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

bientôt, mon cher Marquis. » Voilà, Mademoiselle, l’état de votre amie, arrivez je vous prie, vous seule pouvez lui donner quelque consolation, s’il en est ; ou du moins la calmer. Ne perdez pas de temps, je vous en conjure, au nom de votre tendre amitié pour cette femme infortunée. Je suis avec un profond respect, Mademoiselle,


le Commandeur de Lœwenstein.
Séparateur