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Madame, par vous, qu’en partant je vous obéis, et que vous me savez gré de ma soumission ; je partirai aussitôt après. Qui m’eût dit, il y a peu de mois, que les malheurs de la plus affreuse révolution n’avaient pas épuisé toute ma sensibilité, et qu’il me restait encore des maux à craindre. Adieu, madame la Comtesse, j’attends vos derniers ordres, et vous offre l’hommage de mon profond respect.

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