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rappellera les noms de Barbaroux, de Guadet, de Gensonné, et de tant d’autres ? L’histoire d’une telle révolution doit être écrite à grands traits, et ceux qu’une curiosité extrême portera à savoir des détails, pour la plupart dégoutans, compulseront les écrits du temps et les archives du crime. On peut dire de cette histoire, bien plus justement que de celle d’Angleterre, qu’elle devrait être écrite par le Bourreau.

Adieu, mon cher ami, vale et ama.

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