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s’épanouit quand je vous écoute, comme la fleur à la rosée du matin. Adieu, ma tendre amie.
LETTRE LXXII.
Melle Émilie
à
la Cesse de Loewenstein.
à
la Cesse de Loewenstein.
Je sens, ma chère amie, que vous
devez avoir besoin de repos, et je
voudrais savoir le Marquis en état de
partir, ce qui ne peut être long à ce
que je crois ; mais en attendant, j’ai
pressé ma mère de me permettre
d’aller vous voir, et un vieux cousin,
qui est presque un grand oncle, s’est