Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 1.djvu/262

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

pourquoi m’en vouloir, n’est-ce pas mon cœur, ingrate, qui me rend métaphysicienne ? N’est-ce pas le bonheur de vous voir qui m’inspire tant de beaux calculs ? L’avare qui compte son argent, tantôt le voit en ducats, tantôt en écus, et enfin en florins, en kreutzer, pour en grossir la somme à ses yeux. Adieu, ma chère Victorine, et quel bonheur j’aurai dans trente-six heures en disant, bon jour chère Victorine !

Séparateur