Page:Sénac de Meilhan - L'Émigré, Tome 1.djvu/216

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ajoute à une tendresse que je croyais au-dessus de tout ; mais le cœur le plus aimant a donc toujours quelque vide que découvrent de nouvelles et vives émotions ; le mien ne semblait pas pouvoir vous aimer davantage, et c’est cependant ce que je crois éprouver depuis votre lettre.

Séparateur