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un caillou ; qui se douterait qu’il existe ?
Adieu, ma chère Émilie.
LETTRE XVI.
Melle Émilie
à
la Cesse de Loewenstein.
à
la Cesse de Loewenstein.
Je suis bien plus touchée, ma chère
Victorine, de tout ce que vous me dites
de sensible sur mon portrait que
de l’ouvrage même. Votre amitié
se peint dans l’occupation où vous
êtes de moi, et elle vous inspire un
aveuglement qui me flatte davantage
par son principe, que par l’aspect
séduisant sous lequel il m’invite à me
voir. J’ai quelquefois fait des portraits,