des liaisons plus ou moins étroites. Il avait de l’esprit, mais par étincelles, l’amour du plaisir éteignoit dans lui toute affection morale, et un seul sentiment, celui de la vengeance, pouvoit donner quelqu’action à son ame, et a été le principe de sa conduite. Cette connoissance de son caractère m’a fait apprendre depuis sans surprise, que lorsqu’on vint l’avertir que madame la princesse de Lamballe, entre les mains d’un peuple factieux, était en grand danger, et qu’il pouvait la sauver, « il faut la laisser, dit-il, suivre sa destinée. » Quelque temps après ses valets de chambre vinrent lui dire tout effrayés qu’on promenait la tête de cette Princesse, « eh bien ! dit-il, c’est une tête comme une autre. » Ces détails m’ont un peu écarté des objets qui me concernent ; mais mon histoire peu
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