1. Même début que chez Salluste. (Jugurtha, I ; et Catil., I et II.)
2. Cicéron attribue cette pensée non pas à Aristote, mais à Théophraste son disciple. Aristote dit même le contraire (Generat. anim., IV, X.) Il observe que, sauf l’éléphant, l’homme est de tous les animaux celui qui vit le plus longtemps. Peut-être y avait-il au texte primitif : Aristotelis discipuli.
3.Nescit quid perdat, et alto
Demersus, summa rursus non bullit in unda.
(Pers., Sat. III.)
4.Ut ingenti
Vexata noto, servat longos
Unda tumultus et jam vento
Cessante tumet. (Senec., Herc. fur., v. 1088.)
5. Imité par Juvénal, Sat. X, v. 2 et v. 9.
6. « Nous réservons nos biens pour nos proches et pour nos enfants : notre temps, nous le donnons à tout le monde : nous l’exposons, pour ainsi dire, en proie à tous les hommes : on nous fait même plaisir de nous en décharger. » (Massillon, Serm. sur l’empl. du temps.)
7.Sors tua mortalis, non est mortale quod optas. (Ovid.)
Ton sort est d’un mortel, et tes vœux sont d’un dieu.
8. Évidemment Corneille a été ici inspiré de Sénèque :
Et monté sur le faîte il aspire à descendre. (Cinna, 1, sc. II.)
9. Auguste voulait par là se faire prier de conserver le pouvoir, et