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une ville morte
lonnaient de nombreux navires ; d’épaisses forêts couronnaient
les montagnes dont les pentes se couvraient de gazons verdoyants.
Dans cette ville, aujourd’hui détruite, se pressait une population
nombreuse, active, joyeuse de vivre, respirant avec ivresse les
brises de la mer et l’odeur pénétrante des grands bois… Et tout
Rugel les arrêta devant une ruine… (p. 336).
a disparu ! Ce qui reste de nous vit aujourd’hui enfermé dans un
étroit espace, privé de la lumière du soleil. Et ses jours sont
comptés ! Qui sait même si quelque épouvantable cataclysme ne
viendra pas encore en abréger la durée et détruire jusqu’aux derniers
vestiges de cette misérable humanité ? »