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sottise et routine
l’exactitude de ce mot d’un homme qui connaît bien cette administration que l’Europe aurait grand tort de nous envier :
« Il faut plus de temps à un dossier pour franchir la Seine qu’à un bateau à voiles pour franchir l’Atlantique. »
« Tréve de discussion, » s’écria-t-il (p. 269).
Enfin, un jour vint où la bienheureuse autorisation, revêtue de tous les cachets, paraphes, signatures, timbres, visas requis par un formalisme aussi puéril qu’inquisitorial, se trouva entre les mains de Mathieu-Rollére.