Ce n’est pas moi, mon oncle ; c’est Georges.
Non c’est toi qui as voulu.
C’est pour t’aider, parce que tu le voulais.
Ce n’est pas vrai. J’ai dit : « Papa défend » ; tu as dit : « Ça ne fait rien ; il ne saura pas. »
Tu es un menteur. Tu dis ça pour me faire gronder par mon oncle.
Non, je ne suis pas un menteur ; c’est toi qui es une méchante. Papa, ce n’est pas moi, c’est Giselle qui ment.
Giselle, tu as fait une sottise ; au lieu de l’avouer, tu fais un mensonge et une méchanceté ; je ne veux pas que tu restes ici : va-t’en chez toi. »
Giselle devint rouge ses yeux étincelaient de colère ; elle fut sur le point de répondre avec emportement ; mais elle n’osa pas. Elle partit sans dire mot, et alla chercher sa bonne.
Vous voilà déjà prête à partir, Mademoiselle