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son lit et commença sa toilette, aidé de Laurence, tandis que Blanche s’occupait d’Isabelle.

« Pourquoi tu m’as poussé et m’as fait tomber ? dit Georges à Isabelle quand le plus fort de la toilette fut fait.

isabelle.

J’ai pas poussé ; t’as pas tombé.

georges.

Je te dis que tu m’as poussé et que je suis tombé.

isabelle.

Non ; te dis que non.

georges.

Menteuse ! C’est vilain de dire non.

isabelle.

Moi pas menteuse ! Moi veux dire non.

georges.

Alors tu seras toujours une menteuse.

la bonne.

Mais, Georges, quand donc Isabelle a-t-elle pu vous pousser, puisque vous dormiez encore quand vos tantes sont entrées ?

georges.

Quand je me suis levé pour la réveiller, elle ne voulait pas ; elle dormait toujours ; alors j’ai crié dans son oreille ; alors elle m’a poussé, je suis tombé et je m’ai fait du mal.