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III
courage de léontine
Giselle ne se trompait pas ; à peine fut-elle partie que M. Tocambel, se tournant vers Léontine, lui dit :
« Parlez, mon enfant, je vous écoute.
léontine.
Vous m’avez peinée, mon cher ami, par votre sévérité pour ma pauvre Giselle. Je crains qu’elle n’ait compris toutes vos paroles ; elle est si intelligente elle en a beaucoup de chagrin, j’en suis bien sûre.
m. tocambel.
Rassurez-vous, ma chère enfant ; bien loin d’avoir du chagrin, elle est contente de m’avoir vexé,