Mais je n’ai pas craché après.
Je n’ai plus mordu, moi aussi.
Et nos bouquets ? Nous n’avons rien à donner à maman.
Si fait, mes chers petits ; j’avais mis sur la commode les deux plus beaux, que j’avais heureusement finis avant l’arrivée de Giselle. J’en faisais d’autres avec les petites fleurs qui restaient. Il y en a beaucoup qui ne sont pas écrasées ; vous donnerez ces deux beaux bouquets ; Blanche et moi, nous en donnerons deux plus petits que je vais finir.
Non, non, ma pauvre tante, prenez les gros et donnez-nous les petits. N’est-ce pas, Isabelle ?
Non ; moi je veux un gros ; toi, prends un petit.
Comment ? tu ne veux pas donner un gros bouquet à ma pauvre tante qui est si bonne ?
Oui, je veux bien, le tien ; moi, je veux un gros.