Moi ! impérieux ! Avec vous ! ce serait bien impossible ; vous me mettriez en pièces. Puisqu’il faut toujours vous céder, quelque folle idée que vous ayez dans la tête !
C’est bon, c’est bon ; taisez-vous, on n’entend que vous. Laissez-nous terminer nos affaires.
Ce n’est toujours pas moi qui parle.
Comment, pas vous ? vous ne faites que cela.
Donnez-moi la paix ! pour l’amour du ciel !
Donnez-moi la paix ! Vous redites toujours la même chose… Chut ! Plus un mot. »
— Ma petite Giselle, ajouta-t-elle en se tournant vers sa nièce, tu es bien gentille ; je reviendrai te voir et nous causerons encore à nous deux…
Je pourrai assister à votre conversation, ma bonne tante ?
Pas du tout, ma fille ; tu n’as pas besoin d’entendre nos petits secrets. Et Victor encore moins.