Non, je reste à la maison ; j’ai mal à la tête, je suis fatigué. Excusez-moi auprès de Noémi et de Pierre.
Mais, Victor, ce ne sera pas aimable pour Pierre, qui nous réunit tous pour la fête de Noémi.
Pas tous, puisque Giselle n’y va pas.
M. Tocambel a dû vous dire que Giselle avait mérité d’être punie…
Oui, oui, il me l’a dit ; mais comme je ne veux pas que Giselle soit à l’abandon avec les domestiques, je reste avec elle.
Victor, je vous assure que Giselle…
C’est bien ; je sais ce que vous allez dire. Mais je considère comme un devoir de ne pas négliger à ce point son enfant, et je veux rester à la maison afin de veiller sur elle.
Merci, mon bon cher papa ; avec vous je suis toujours sage et heureuse, et avec les autres, je