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par la peau du dos le plus gros des chiens ; il le secouait pendant que je grimpais à l’arbre ; l’autre sauta après moi, m’attrapa par mon habit, et m’aurait mis en pièces, si Cadichon ne m’eût pas encore préservé de ce méchant animal ; il donna un dernier et bon coup de dent au premier chien, qu’il lança en l’air, et qui alla retomber, brisé et saignant, à quelques pas plus loin ;


« Je vis accourir deux gros chiens de la ferme. »


ensuite Cadichon saisit par la queue celui qui tenait le pan de mon habit, ce qui le lui fit lâcher immédiatement ; après l’avoir tiré au loin, il se retourna avec une agilité surprenante, et lui lança à la mâchoire une ruade qui doit lui avoir cassé quelques dents. Les deux chiens se sauvèrent en hurlant, et je me préparais à descendre de l’arbre lorsque vous êtes revenus. »