Auguste, Auguste, courez à la cuisine me chercher du café pour ma crème que je fouette ; je l’ai oublié ; vite, dépêchez-vous.
Il faut que j’allume du feu pour Camille.
Après ; allez vite chercher mon café : ce ne sera pas long, et je suis pressée. »
Auguste partit en courant.
Auguste, Auguste, il me faut de la braise et un gril pour mes côtelettes ; je finis de les couper proprement.
Auguste, qui accourait avec le café, repartit pour le gril.
Il me faut de l’huile pour ma vinaigrette.
Et moi, du vinaigre pour ma salade ; Auguste, vite de l’huile et du vinaigre. »
Auguste, qui rapportait le gril, retourna en courant chercher le vinaigre et l’huile.
Eh bien ! mon feu, c’est comme ça que vous l’allumez, Auguste ? Mes œufs sont battus, vous allez me faire manquer mon omelette.
On m’a donné des commissions ; je n’ai pas encore eu le temps d’allumer le bois.