Parce qu’il avait vu le matin ses camarades entrer dans le souterrain, et qu’il voulait les rejoindre.
Et les tours de l’âne savant ?
C’est par jalousie et par méchanceté.
Et la course des ânes ?
C’est par orgueil d’âne.
Et l’incendie, quand il a sauvé Pauline ?
C’est par instinct.
Tais-toi, Henri, tu m’impatientes.
Mais j’aime beaucoup Cadichon, je t’assure ; seulement, je le prends pour ce qu’il est, un âne, et toi, tu en fais un génie. Remarque bien que, s’il a l’esprit et la volonté que tu lui supposes, il est méchant et détestable.
Comment cela ?
En tournant en ridicule le pauvre âne savant et son maître, et en les empêchant de gagner l’argent qui leur était nécessaire pour se nourrir. Ensuite, en faisant mille méchancetés à Auguste,