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disait-il, j’avais la tête trop basse quand je dormais. Une autre fois, Jeanne voulut me couvrir avec le couvre-pied de son lit pour me tenir chaud la nuit. Un autre jour, ils me mirent des morceaux de laine autour des jambes de crainte que je n’eusse froid. J’étais désolé de ne pouvoir leur témoigner ma reconnaissance, mais j’avais le malheur de tout comprendre et de ne pouvoir rien dire. Je me rétablis à la fin, et je sus qu’on projetait une partie d’ânes dans la forêt avec les cousins et cousines.