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LES VACANCES.

plia de le laisser achever. « Mon père, mon père, criait-il, il reste peut-être encore du venin ;


laissez-moi continuer, laissez-moi vous sauver. « Mon père, laissez-moi ! » Il se débattit si bien, qu’il m’échappa ; j’eus un nouvel éblouissement dont il profita pour sucer ce qui restait de venin. Quand je repris de nouveau connaissance, je pus marcher jusqu’à la mer appuyé sur l’épaule de