visses, de la tourte aux prunes, et enfin du fromage et des fruits.
Quel bon déjeuner nous faisons ! Ces écrevisses sont excellentes.
Et comme le pâté était bon !
La tourte est délicieuse !
J’ai une faim affreuse.
Veux-tu encore un peu de vin pour faire passer ton déjeuner ?
Je veux bien, maman. À votre santé ! »
Tous les enfants demandèrent du vin et burent à la santé de leurs mamans. Le repas terminé, on fit dans la forêt une nouvelle promenade, et cette fois en compagnie de Sophie.
Nicaise et son fils déjeunèrent à leur tour pendant cette promenade, et rangèrent les restes du repas et de la vaisselle, qu’ils placèrent dans les paniers.
« Papa, dit le petit Nicaise, faut pas que mam’selle Camille ait le bourri fainéant de Mlle Sophie ; mettons-lui sur le dos le bât aux provisions et met-