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toute leur affection et de la journée qui venait de s’écouler.
XXVIII
LA PARTIE D’ÂNE
Marguerite.
Maman, pourquoi ne montons-nous jamais à âne ? c’est si amusant !
Madame de Rosbourg.
J’avoue que je n’y ai pas pensé.
Madame de Fleurville.
Ni moi non plus ; mais il est facile de réparer cet oubli ; on peut avoir les deux ânes de la ferme, ceux du moulin et de la papeterie, ce qui en fera six.
Camille.
Et où irons-nous, maman, avec nos six ânes ?
Sophie.
Nous pourrions aller au moulin.
Marguerite.
Non, Jeannette est trop méchante ; depuis qu’elle m’a volé ma poupée, je n’aime pas à la voir ; elle me fait des yeux si méchants que j’en ai peur.
Madeleine.
Allons à la maison blanche, voir Lucie.