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« Au secours ! » cria une voix tremblante derrière la porte. C’était la voix de Pulchérie.

« Elle vit encore, dit ma tante, sauvons-la et quittons vite cette maison d’assassins. »


Il eut beau frapper et pousser la porte. (Page 333.)

Fritz et le postillon n’eurent pas de peine à enfoncer la porte. Ils trouvèrent Pulchérie tout habillée, pâle comme une morte ; elle suivit sans mot dire ma tante, qui venait de la délivrer si charitablement. Tous descendirent et suivirent Fritz à l’écurie ; les chevaux étaient bien reposés, l’orage