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la souris à deux mains pour lui faire lâcher prise.

« Vous voyez, Armand, que ce n’est pas déjà si amusant d’avoir une souris vivante. Voulez-vous que je la tue ?


La souris grimpait le long de sa jambe.

— Oh non ! ma bonne ; descends-la devant la maison ; tu l’attacheras à un arbre.

— Je n’aime pas ce jeu-là, dit Valentine ; c’est cruel !

La bonne.

Mlle Valentine a raison ; il vaut mieux tuer cette bête, déjà à moitié morte de peur. »