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Armand.
Je l’attacherai dehors à un arbre.
Henriette.
Mais elle sera très malheureuse ; serais-tu content si l’on t’attachait par une jambe et qu’on te laissât tout seul dehors, et la nuit encore ?
La souricière.
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Armand.
Moi, c’est autre chose. Je pense, moi ; une souris ne pense pas.
Madeleine.
Non, mais elle souffre.
Armand.
Eh bien, je ne l’attacherai pas. Je t’en prie, ma bonne, attrape-moi une souris vivante.
la bonne.
Je le veux bien ; mais vous ne l’aurez qu’un jour ;