de Mme Bonard lui plut ; il la salua avec grâce et politesse.
Madme était bien bonne. Jé remercie bien Madme. J’étais un peu crotté. Jé n’osais pas salir lé parloir de Madme.
Entrez, entrez donc, mon bon Monsieur ; ne vous gênez pas.
Si Madme voulait accepter lé bras.
Merci, mon cher Monsieur, ce sera pour une autre fois ; à présent, vous n’êtes pas en état de faire vos politesses. »
Mme Bonard se dépêcha de rentrer pour préparer de l’eau, du savon, un baquet et du linge. L’Anglais la suivit à pas comptés, mais auparavant il se retourna vers Julien et lui tendit la main en disant :
« Jé té pardonnais, Juliène ; tu m’avais aidé, tu étais un good fellow. »
Il fit deux pas, se retourna et ajouta :
« Mais tu étais une pétite voleur si tu ne me rendais pas ma grosse turkey. »
Quand il entra dans la maison, Mme Bonard lui fit voir le baquet, le savon, le linge.
Voilà, Monsieur ; voulez-vous que je vous aide ? »
L’Anglais la regarda d’un air indigné.
Oh ! Madme ! Fye ! Une dame laver un Mossieur ! Fye ! shocking !