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doux, et qu’on le fixerait au 1er juin devant Mme Papofski, mais en réalité au 1er mai, dans quinze jours.
« Négrinski arrivera le 15 ; nous serons déjà loin, en chemin de fer et en pays étranger ; elle aura dix jours de gloire et de triomphe !
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Dix minutes après, Romane remettait la lettre à Dérigny.
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Madame Dabrovine.
« Mais, mon père, ne craignez-vous pas que pendant ces dix jours, elle n’exerce des cruautés contre vos gens et contre les pauvres paysans ? »
