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rait le coucher des garçons et rangeait les habits pour le lendemain.


« Je dis que c’est trop fort ! »

Natasha, avec gaieté.

Mme Dérigny a cru que nous apportions tout ce que nous possédons, maman ; voyez que d’armoires nous avons ; une seule suffit pour contenir tous nos effets, et il reste encore bien de la place.