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pressions consolantes de son nouvel ami, et elle se trouva bientôt en état de marcher, appuyée sur le bras du brigadier.

« Je voudrais dire un dernier adieu à mon frère ; ce sera un grand adoucissement à ma douleur.



le brigadier.

Ma pauvre Caroline, je crains que l’émotion ne vous replonge dans l’état dont vous sortez.

caroline.

Ne le craignez pas ; la première terrible secousse est passée ; il me semble que l’âme de mon frère