moi, et qu’elle sait mieux que moi ce qu’il est bon de faire ou de ne pas faire. Je ne le lui demanderai pas, parce que cela est contraire à mes goûts, à mes idées et à mes principes ; car j’en ai, des principes, mademoiselle,… et des idées aussi : je continue,… à mes principes,… oui, mademoiselle, à mes principes… Il n’y a pas de quoi rire,… je dis : à mes principes.
Je ne ris pas, Gribouille ; je t’assure que je ne ris pas,… ni mon frère non plus, ajouta-t-elle en se détournant comme pour regarder son frère, mais en réalité pour étouffer son envie de rire.
Est-ce bien sûr ? Hem ! Hem !… Je dis donc qu’il est contraire à mes principes de rester dans une maison où l’on ne veut plus de moi ; près d’un maître qui n’est plus mon ami ; au service d’une femme qui n’a plus rien de bon ni d’agréable ; aux ordres d’enfants qui prennent parti contre moi pour un méchant perroquet menteur, voleur, gourmand, mauvaise langue. Voilà, mademoiselle, quels sont mes principes.
Je te remercie, Gribouille.
Il n’y a pas de quoi, mademoiselle.
Que mademoiselle veuille bien excuser mon