Page:Ségur - L’auberge de l’ange gardien.djvu/130

Cette page a été validée par deux contributeurs.
124
L’AUBERGE DE L’ANGE-GARDIEN.

LE GÉNÉRAL.

Je le crois bien, parbleu ! C’est moi qui ferai les frais de la noce. Et un fameux repas que je vous donnerai ! Tout de chez Chevet. Vous ne connaissez pas ça ; mais moi, qui suis venu plus d’une fois à Paris, je le connais, et je vous le ferai connaître. »