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Kersac.
Comment, quel petit Jean ? Celui qui reste dans cette maison, parbleu ! je n’en connais pas d’autre, et pas un qui vaille celui-là. »
Le concierge sourit : il comprit ce que demandait Kersac.
Le concierge.
Si vous voulez entrer, monsieur, je vais prévenir Jean que vous le demandez. Qui faut-il annoncer, monsieur ?
Kersac.
Kersac, son ami Kersac.
Le concierge.
Suivez-moi, s’il vous plaît, monsieur.
Kersac.
Très volontiers, mon ami. »
Kersac le suivit pas à pas ; arrivé à l’escalier, il s’arrêta.
Kersac, regardant de tous côtés.
Mais… par où faut-il monter ?
Le concierge.
Il faut monter l’escalier qui est devant vous, monsieur.
Kersac.
Sur cette belle étoffe qu’on a mise là tout du long ?
Le concierge, souriant.
Oui, monsieur ; il n’y a pas d’autre chemin.
Kersac.
Eh bien, excusez du peu ! mon petit Jean ne se gêne pas… Et il marche là-dessus tous les jours ?