Mon bon, cher bienfaiteur, ayez pitié de lui, pardonnez-lui, sauvez-le.
Écoute, mon enfant, pour toi, par amitié pour toi, je ferai ce que tu me demandes, mais…
Vraiment ! Oh ! monsieur ! Oh ! monsieur ! Je ne dis rien, mais voyez ce que vous dit mon cœur.
Je vois et je le remercie, mon enfant ; mais entendons-nous. Pour le placer, il faut que je sache tout. Parle-moi bien franchement, comme à un ami que tu ne veux pas tromper ; réponds seulement aux questions que je vais te faire. Le crois-tu honnête ?
Non, monsieur.
Bon ! Et d’un ! Le crois-tu actif, laborieux ?
Non, monsieur.
Et de deux ! Le crois-tu religieux ?
Non, monsieur.
Et de trois ! Le crois-tu serviable, obligeant ?
Non, monsieur.
Quatre ! Le crois-tu sincère, loyal ?
Non, monsieur.