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m. des ormes.

Comment ? elle te laisse toute seule ?

christine.

Oui, toujours quand je suis couchée.

m. des ormes.

Veux-tu que je l’appelle ?

— Oh non ! non ! Laissez-la, je vous en prie, papa, s’écria Christine avec effroi.

— Pourquoi as-tu peur d’elle ? »

Christine ne répondit pas. Son père insista pour savoir la cause de sa frayeur ; la petite finit par répondre bien bas :

« Je ne sais pas. »