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et son mari, car c’étaient des larmes de tendresse et de bonheur.

Arrivés à Nancé, ils trouvèrent le bon Paolo, qui, parti un peu en avant, attendait les mariés à la porte avec tous les gens de la maison ; il embrassa la mariée, serra François dans ses bras, et fut serré à son tour dans ceux de M. de Nancé.

Christine ayant demandé à passer chez elle pour enlever son voile et sa belle robe de dentelle (présent de sa tante), son père la mena dans son nouvel appartement, arrangé et meublé élégamment et confortablement. Isabelle avait sa chambre près d’elle. Christine et François pas-