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en devenant sa fille ? C’est mal, cela ; et je vais le gronder aujourd’hui même. »
En sortant de chez Isabelle, Christine alla chez sa tante.
« Chère tante, dit-elle en l’embrassant, voyez le bonheur que Dieu m’envoie ; lisez cette lettre de M. de Nancé. »
Mme de Cémiane lut et sourit.
madame de cémiane.
Tu vas donc accepter la demande de François ?
christine.
Avec bonheur, avec reconnaissance, chère tante ; c’est la fin de toutes mes peines, le commence-