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maurice.

C’est parce que je vous aime trop que je suis malheureux. Je voudrais être toujours avec vous, et je vous vois si peu ! Je voudrais être avec maman et papa, et les voilà partis ! Je voudrais que mon frère m’aimât, et il ne me témoigne que de l’indifférence. Toi, François, et toi, chère et bonne Christine, si vous pouviez être mon frère et ma sœur ! Mais vous ne l’êtes pas ! Je voudrais que vous m’aimiez de telle sorte que vous n’aimiez que moi, et cela aussi est impossible.

m. de nancé.

Maurice, vous parlez trop ; je vais renvoyer vos amis si vous continuez.