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fais-je, moi, que suivre vos conseils et ceux du bon Paolo ! C’est vous et lui qui devez avoir de l’orgueil, si je fais bien ; vous surtout, mon père, vous qui m’apprenez à être ce que dit Paolo, douce et obéissante, et à demander au bon Dieu de me rendre bonne et pieuse comme François.

— Voyez, voyez, Signor ! Quel anze que cet enfant ! » s’écria Paolo en joignant les mains et en s’élançant ensuite sur Christine, que, dans son admiration, il enleva de six pieds, et qu’il remit à terre avant qu’elle eût le temps de pousser un cri de frayeur.

« Vous m’avez fait peur, Paolo, lui dit Christine d’un air de reproche.

— Pardon, Signorina, pardon, dit Paolo confus ; c’était la zoie, l’admiration. »

Et il rentra un peu honteux, précédé de M. de Nancé et de Christine.