Cette page a été validée par deux contributeurs.
Nancé, mais il fit signe à Paolo de se taire à cause de Christine.
« À présent, mon ami, allez continuer les leçons de ma petite Christine ; finissez votre temps de galères.
— O Dio ! quelle galère ! avec oune si sarmante Signora ! si douce, si obéissante, si intellizente, si…
m. de nancé, riant.
Assez, assez, mon cher, assez. Vous allez donner de l’orgueil à ma fille.
christine.
À moi, mon père ? De l’orgueil ? et de quoi ? Que